« Expertises médicales à l'appui, Sergio Vinucci, un trentenaire italien, accuse les reproches et les jérémiades de sa femme de l'avoir rendu impuissant.

"Elle n'arrête jamais de se plaindre, a-t-il affirmé au tribunal de Palerme. C'est extrêmement stressant et ça m'a rendu incapable d'être un homme. Je ceux un dédommagement.

Il demande 180 000 euros. Ca va lui en faire, du Viagra ! »

(Marianne n°570, Mars 2008).

Ou le prêt-à-penser sur les genres.

« Dans le dictionnaire de la psychologie de Larousse, dernière édition "mise à jour", on peut lire à la définition du mot "viol" : "le choix de la victime ne relève pas seulement du hasard ; il porte habituellement sur des sujets déficients intellectuellement, faibles et naïfs".

Imaginez une victime de viol qui, au gré de ses lectures, apprend que c'est parce qu'elle est idiote et débile mentale qu'elle a été "choisie" par son violeur... Les rédacteurs devraient faire un stage à la permanence du collectif féministe contre le viol : je les mets au défi de faire passer aux victimes tous les testes d'intelligence ou d'aptitude psychomotrice ! »

On ne mélange pas les messieurs avec les mesdames, comme le confirme un dictionnaire pour enfants dans lequel on peut lire au mot "mâle" : "qui est caractéristique du sexe masculin, force, énergie", et à "féminin" : "caractère féminin, ensemble des caractères correspondant à une image biologique et sociale (charme, douceur), contraire de virilité".

Les exemples donnés pour le mot "bain" résument l'ensemble : "Le président prend un bain de foule, Jeanne prend un bain de soleil".

Chacun son sexe, chacun son destin ? »

(Clémentine Autain, Alter Égaux)

"Lorsqu'on pose un ballon par terre, les garçons shootent ; les filles le ramassent et le serrent contre leur cœur. Cela semble indépendant de l'éducation et de la culture, et donc directement lié à nos hormones".

« Nous sommes pas nous les mecs les vraie martyre ? il y a des fois ou je me sent léser ou guider par la femme?

nous sommes pas victimes d une machination ou complot féminin ou elle nous laissent croire que nous sommes "les bosses" or que nous sommes mener par la " braguette " baguette et par le bout du nez comme des . . . . . . .?

"silence" chut on parlent pas le même langage »

(MOI (il s'agit de son pseudo, ne vous méprenez pas, hein ;o))

Rien n'arrête ce genre de miso, n'est-ce pas... Et après, on va nous soutenir que nous autres féministes sommes "victimistes". Ben voyons...

Et si vous comprenez sa dernière phrase, faites-moi signe.

"une femme qui ne s epile pas n est pas baisable tout simplement". (ouahhh)