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    Rassurez-vous (au cas où vous me penseriez atteinte de Sarkogunya), ces paroles ô combien touchantes ne sont pas de moi, mais du romantique Enrico Macias, qui, après avoir voulu donner son coeur du PS, chantouille auprès de son nouvel élu. Je vous l'assure, du grand art, le tout dans une ambiance coollissime & bon enfant :  

    Allez, on tape dans les mains, au premier rang ! Oh, mais on dirait Villepin Junior, dans son petit polo pastel... Comme c'est mignon !

     


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    Plutôt confiante, je n'avais plus peur d'un autre 2002, et en dépit de mes critiques ô combien récurrentes, la grande participation des citoyen-ne-s en ce jour ensoleillé tendait à me redonner le sourire. Une fois le duel annoncé, la surprise a laissé place à la crainte, puis au dégoût (certains scores me donnent l'image d'une France frappée d'amnésie ou de naïveté crasse via laquelle je n'ai plus grand chose a espérer, et pour l'avenir de sa population, et pour mon ersatz de rapport avec elle). Certes, tout n'est pas joué, mais je crains franchement le pire.

    Pour égayer un tant soit peu mon post anthracite, voici une petite réflexion en trois temps du fameux Chat de Gelluck :

     


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